La radiesthésie du 21ème siècle.
La radiesthésie est souvent présentée d'une manière assez restrictive, il est souvent question de l'usage des cadrans de radiesthésie qui ne représentent qu'une infime partie des possibilités de cet art ancestral.
Comme toute pratique elle évolue encore aujourd'hui de manière assez significative, les travaux des ingénieurs monsieur Bélizal et monsieur Morel ont grandement contribué à cette évolution.
L'un de leurs successeurs, monsieur Jean de la Foye a élaboré un pendule capable de détecter et d'émettre les différentes fréquences énergétiques qui nous entour, aussi bien celle de notre environnement terrestre en ce qui concerne la géobiologie que celle des organismes vivants propre à la radiesthésie médicale.
Le pendule équatorial, le couteau suisse des radiesthésistes est donc un outil particulièrement polyvalent.
Sur le pendule équatorial les différentes fréquences énergétiques sont représentées par des couleurs magnétiques (positives), et électriques (négatives),
Pour utiliser le pendule avec des fréquences électriques, il suffit simplement de le retourner et de faire coulisser la ficelle. A titre d'information, les fréquences électriques ne sont utilisables que dans le domaine de la recherche, jamais en émission.
Le pendule équatorial est un émetteur et récepteur permanent il s'utilise donc sans convention mentale.
En position de repos la bague coulissante est réglée sur le vert magnétique positif.
Le cercle de Bélizal
Chaque fréquence représentée par une couleur possède des caractéristiques particulières et une action sur notre environnement et sur nous-même.
C'est ici que commence l'art du radiesthésiste, qui consiste à savoir utiliser les bonnes fréquences au bon moment.