Il y a environ 5000 ans des hommes manipulaient des pierres de plusieurs tonnes pour construire des dolmens et des menhirs. D’après les historiens ces monuments servaient à nos ancêtres de sépultures ou de lieu de cultes religieux, pour d’autres ils seraient en lien avec l’astronomie et leur emplacement aurait été délibérément choisi.
Pourtant pour étudier ces cites sacrés un autre aspect est à prendre en considération, la dimension énergétique. Bien souvent celle-ci est passée sous silence, et pour cause tout ce qui est du domaine subtil échappe pour la plupart d’entre nous à nos sens de perceptions.
En effet notre planète la terre possède des réseaux énergétiques que les géobiologues connaissent bien, les principaux sont les réseaux Hartmann, Curry, Peyré, Palm et Wissmann, chacun d’entre eux recèle une trame particulière et une orientation bien définie. Pour aller plus loin dans la compréhension de ces phénomènes voici une petite définition des principaux réseaux énergétiques :
Réseau Hartmann : il est constitué de lignes en moyenne de 2,50m par 2m orientées sur les points cardinaux, nord, sud, est, ouest. Il possède également une base numérique, c’est-à-dire que toutes les 7 lignes de niveau 1, on rencontre une ligne de niveau 2, et toutes les 7 lignes de niveau 2 une ligne de niveau 3, donc plus large, plus forte d’un point de vu énergétique, et surtout plus rare, car très éloignés les unes des autres, cela est valable pour tous les réseaux telluriques avec une base numérique différente. Il est important aussi de signaler qu’il existe des lignes positives et négatives, à titre d’exemple si vous êtes sur une ligne positive du réseau Hartmann de niveau 1, sachez que la suivante sera négative. En conclusion la terre possède une trame énergétique régulière, composé de différentes fréquences.
Réseau Curry : il est constitué de lignes de 5m en moyenne orientées nord-est, sud-ouest, nord-ouest, sud -est.
Réseau Peyré : il est constitué de lignes de 6m à 8m en moyenne, et orienté sur les points cardinaux.
Réseau palm : il est constitué d’une trame de 5,50m à 7,50m dans l’axe est-ouest, et d’une trame de 3,50 à 5,50m dans l’axe nord-sud.
Réseau Wissmann : il est constitué d’une trame entre 8,50m et 11,50m, l’orientation est la même que pour le réseau Curry.
Définitions des principaux phénomènes énergétiques :
Les courants telluriques : il s’agit en quelque sorte d’un flux énergétique qui ressemble au réseau hydrologique. Ils ont pour particularité d’annuler les effets négatifs des cours d’eau.
Les cheminées cosmo-telluriques : il s’agit d’un phénomène éthérique ayant l’aspect d’une colonne verticale qui traverse toute matière et qui régule l’énergie sur une hauteur pouvant aller jusqu’à plusieurs centaines de mètres dans le sol et au-dessus de la surface terrestre. Certaines cheminées peuvent atteindre 250m de haut, elles sont positives ou négatives en fonction de leur couleur éthérique et de leur fréquence vibratoire, elles possèdent également un ou plusieurs bras qui sont toujours négatifs. Cela a comme conséquence sur les hommes de diminuer ou d’augmenter leur bulle énergétique, qui varie déjà en fonction de notre état de santé, de la fatigue et bien sûr de notre état d’esprit.
Les vortex : c’est le phénomène énergétique le plus puissant, il est toujours positif, il a l’apparence éthérique de deux spirales reliés entre elles, on parle souvent en géobiologie du lien du vortex qui se trouve en général a une distance de 50m à 1500m.
On prend également en considérations les cours d’eau et les failles géologiques, mais il s’agit avant tout de phénomènes physiques qui possèdent comme toute chose en ce monde un rayonnement éthérique.
L’étude approfondie de plusieurs dolmens et menhirs a révélé une cohérence entre leur implantation et la présence de lignes énergétiques du type croisement positif Hartmann de niveau 3, courants telluriques, vortex, croisement de courants d’eau, et présence de cheminées cosmo- telluriques. La réunion de tous ces phénomènes au même endroit est plutôt rare, et délibérément choisi par nos ancêtres pour établir leurs constructions. De ce faite les dolmens et menhirs ne peuvent plus être considérés uniquement comme des lieux de cultes ou de simples sépultures, en réalité il s’agit de la manifestation physique de phénomènes énergétiques.
Les hommes de cette époque avaient donc une connaissance approfondie du monde des énergies subtiles, en plaçant des pierres
sur des réseaux énergétiques ils savaient pertinemment que la fréquence vibratoire de leurs constructions serait décuplée. Il reste encore plusieurs points particuliers a aborder, il s’agit entre
autre de la possibilité d’activer par convention mentale les dolmens et menhirs. Déjà à l’état que je qualifierais de repos ces édifices sont actifs d’un point de vu énergétique, puisque ils
repoussent les lignes des réseaux de niveau 1, déformant en quelque sorte l’implantation naturelle des différentes trames terrestres. En les activant par convention mentale, les lignes de niveau
1 sont encore repoussées, augmentant sur une très grande surface, (en général plusieurs centaines de mètres) la fréquence vibratoire de la totalité du lieu d’implantation de ces
constructions.
Au cours des siècles la connaissance des réseaux énergétiques et de leur utilisation ne s’est pas perdue bien au contraire elle s’est perfectionnée. Nos ancêtres toujours par convention mentale ont appris à démultipliées les lignes des réseaux telluriques, et a inversé leur polarité. L’utilisation de ces techniques de manipulations est très présente dans l’art roman et une partie de l’art gothique, de façon à ce que l’ensemble des constructions de cette époque, soit en correspondance avec des réseaux du type Hartmann ou Curry. On retrouve également dans nos églises et cathédrales des cheminées cosmo-telluriques et des vortex à des endroits bien précis, entre autre derrière le maître autel, là où le prêtre se tenait autrefois pour les cérémonies religieuses. Ces phénomènes énergétiques se retrouvent également au niveau des baptistères démontrant par la même occasion le lien à cette époque entre l’énergétisme et les édifices religieux. Aujourd’hui le lien entre le monde profane et le sacré est en grande partie perdue, pourtant le temple de l’homme et nos églises, nos cathédrales restent des lieux de résurrections, d’éveil, et de transmutation. La clef ne sera jamais perdue, elle dort au plus profond de toi-même.
Gilles Bombony, magnétiseur, coupeur de feu
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